Chers amis du FFFH
À l’heure du bilan, nous nous félicitons de la très belle réussite de la 18e édition, clôturée avec le film biennois Peter K. qui a côtoyé les productions françaises les plus attendues de l’année. Nous avons ressenti à travers les nombreuses salles combles (+30% d’affluence en rapport à 2021) un engouement réel pour le cinéma. Grâce aux discussions passionnantes, on comprend la force hypnotique d’une histoire racontée sur grand écran. Malgré une année difficile pour les salles, le cinéma convainc encore et la haute fréquentation du Festival en est une preuve encourageante. Bienne est d’ailleurs pour certains talents un baromètre de la tendance actuelle ; cinq délégations présentaient leur film en Grande Première et conversaient ainsi avec un public pour la toute première fois. Et quel public ! L’une des richesses du festival, sans aucun doute.
Nous avons beaucoup apprécié ces quelques jours où le cœur de notre ville battait au rythme du cinéma tricolore. Les gens étaient heureux de se retrouver pour célébrer ensemble le 7e art. Les talents et professionnel·le·s qui sont passé·e·s par le festival ont fait le même constat : Bienne aime le cinéma. Nous espérons que ce succès ne soit pas simplement un moment à part, mais que le cinéma retrouve des couleurs grâce en partie aux films que le FFFH a présentés.
Ce retour à la normalité nous motive d’autant plus à continuer notre travail afin d’offrir une 19e édition au moins aussi belle que celle que nous venons de vivre. Nous sommes confiant·e·s et solides – grâce aux nombreux et fidèles partenaires, aux autorités et à un public bienveillant. Dans cette optique, l’Action Les Ami·e·s du FFFH se poursuit en faveur de la 19e édition qui aura lieu du 13 au 17 septembre 2023, et pour laquelle nous serions ravi·e·s de vous retrouver parmi nous. Merci pour votre soutien, votre envie, vos encouragements, merci d’être à nos côtés, pour certain·e·s depuis les prémices. Nous nous réjouissons de partager notre passion pour le 7e art avec vous.
Pour le FFFH
Christian Kellenberger